Lettre autographe de Wenceslao Fernandez Florez (1885-1964), écrivain espagnol. Lettre écrite en espagnol. RARE ! Fernando Florez fait partie de "la génération de 14".
La lettre est sur papier écru, écrite à la main de l'auteur à l'encre bleu foncé, envoyée à son ami Julio Lopez-Olivan, de La Haya, datée de juillet 1897 :
"Mi querido amigo,
En cuanto llegué - el dia 16 - llamé por teléfono a su casa. Queria darle las gracias personalmente y anticipando este deber a cualquier otro, porque mis hermanos me habian informado no solo de las atenciones que usted tuvo con ellos, sino de la amable e insistente solicitud que Usted puso en llevar a feliz término mi salida de Espana.
Voy a marchar con la pena de no haber podido saludarles a usted ya a su senora. El dia 3 (o 9 ?) debo estar en Paris. Encomiendo a estas lineas el decirle que mi gratitud durara lo que yo. No sabe used como se (?) en el alma el recuerdo de una bondad cuando se ha supido un ano de desamparo.
Mis afectuosos recuerdos a su senora, y acepte used la amistad y el reconocimiento de su (?).
W. Fernandez Florez."
Une grande page. Ecrite au recto uniquement.
Format 27 x 21 cm.
Très bon état. La feuille a été pliée en quatre, probablement pour la mettre sous enveloppe. Papier jauni par le temps. Vendue sans enveloppe.
Wenceslao Fernández Flórez, né le 11 février 1885 à La Corogne et mort le 29 avril 1964 (à 79 ans) à Madrid, est un écrivain espagnol de la génération de 14.
Il débute dans le journalisme au Ferrol, puis à La Corogne, avant de devenir chroniqueur pour le quotidien madrilène ABC. Son humour y est très apprécié du public, en particulier la façon dont il traite de l'actualité sportive.
Il écrit également une quarantaine de romans et nouvelles, dont le plus connu reste Las siete columnas (en français : « Les sept colonnes »), pour lequel il reçoit le Prix national de littérature narrative — alors appelé « Prix national de littérature » — en 1926.
Fernández Flórez est reçu à la Real Academia Española en 1945.
(source Wikipédia)