DESSIN ORIGINAL REPRESENTANT UNE FEMME ORIENTALE
SIGNE A LA MAIN TH. FRERE en bas à droite
DATE DE 1851en bas à gauche
intitule au milieu en dessous du dessin
Donna di alta classe in camera
FORMAT DU DESSIN 21,5cmX14cm
Charles Théodore Frère
La France, Orientalism
1814 né - mort 1888
Charles-Théodore Frère, désigné familièrement sous le nom de Théodore, est né à Paris le 24 juin 1814. Il était le frère plus âgé de Pierre-Édouard Frère, un peintre établi de genre qui avait étudié sous Paul Delaroche. La fraternité des deux frère-artistes, tous les deux atteignant un tel à niveau élevé du prestige, était unique du fait elles ont traité des thèmes extrêmement différents. Théodore a commencé à étudier sous Jean-Léon Cogniet et Camille Roqueplan. Peu de temps après commencer ses études, il a quitté Paris et a voyagé par la campagne ofNormandy, Alsace, et Auvergne trouvant une certaine inspiration en nature.
Après renvoi des toParis, Frère a employé ce qu´il avait vu en peignant sa première composition admise au salon de 1834 : Environs De Strasbourg (vue des environs de Strasbourg), une ville de DES de Vue située dans la région d´Alsace de la France. À côté de ce travail il a également montré une peinture de paysage basée sur des vues de la région de Brie-Comte-Robert. Ses compositions plus tôt, ceux ont exhibé jusqu´au salon de 1836, concentré sur les scènes qui étaient disponibles et familier à lui, et aussi bien connu aux assistances de salon. Mais Frère était intéressé par plus que des descriptions de son pays d´origine, et entre 1836 et 1838 - plusieurs comptes diffèrent - Frère est parti sur son premier voyage en Algérie. Les visions du paysage et des algériens seraient présentes dans presque des chaque des travaux qu´il a exhibés au salon jusqu´en 1850. Le cuisinier de Clarence, dans son art de livre et artistes de notre Temps (1888), note cela :
Frère ne nous indique pas qu´au juste ce qui l´a déplacé, c´est comme assez qu´il a été attiré par quelques images du paysage oriental dans le salon qui a contenu son image ; mais, cependant qui a pu avoir été, il dit seulement qu´il a été fortement dessiné par le soleil, et cela dans la recherche de elle il est allé toAlgeria.
Après l´ofAlgeria de conquête par Charles X en 1830, l´Algérie a gagné une attention nationale, non seulement pour sa base française de formation militaire et climat chaud, mais également pour sa culture intrigante. Les artistes et les auteurs ont commencé à s´assembler à ce New Haven, établissant une présence en Algérie qui durerait jusqu´en 1962 où le gouvernement français a proclamé l´indépendance algérienne. Cependant, pendant le temps de Frère, l´Algérie était commencement juste à explorer plus entièrement et le gouvernement a commencé à encourager des artistes à voyager à la colonie française en offrant des bourses de déplacement, différentes du Prix De Rome, leur permettant d´expérimenter avec peindre au Proche Orient. C.H. Stranahan (une histoire de la peinture française de son plus tôt à sa plus défunte pratique, New York : Les fils de Charles Scribner, 1888, la page 228) décrit l´appel de l´Orient pendant cette période en France :
Orient du peintre, ainsi découvert par Decamps, semblé un champ du même caractère à l´esprit français, et à l´école française a fourni beaucoup d´artistes enchantant et excelant en dépeignant les scènes magnifiques de l´est, où l´atmosphère transparente indique le plein rayonnement du ciel et lui apporte la terre apparemment plus proche, et de la civilisation orientale, ou la semi-finale-civilisation, à la laquelle avec ses suggestions d´émotion romantique, son indolence doux, ses incitations au imagination-de ce que l´abat-jour, foi dévouée du Musulman est élément-en appelle tellement fortement l´esprit poétique. Beaucoup, comme Delacroix et Vernet, sans compter que ceux appartenant à la classe d´Orientalists, ont été fascinés par ses charmes. Mais Marilhat, Fromentin, Benjamin-Constant, Theodore Frère, Ziem, ventre… sont remarquable comme étant ravi par l´Orient, comme mite par la flamme-non, cependant, au brûlage de leurs ailes artistiques.
Frère a commencé à contribuer au mouvement connu sous le nom d´Orientalism, la description des cultures du proche et l´Extrême-Orient, accentuant leurs pratiques culturelles, vie, architecturales quotidiens, et lumière du soleil brillante avec uninhibited le sens de la véracité, ou ce qui peut se nommer en tant que « ethnographie ». Il est devenu intrigué par ces cultures et après son voyage vers l´Algérie, qui a durées rudement de 1836 ou 1837 à 1839, il est revenu à Paris mais plus tard a voyagé par l´Egypte, la Grèce, la Turquie, et la Syrie, commençant vraisemblablement autrefois autour 1851 à 1854. Il a passé plusieurs années en Egypte particulièrement, voyageant en bas des nombreux temps du Nil, et par la suite établissant son propre studio au Caire. De 1855 il a commencé à exhiber seulement des thèmes orientaux au salon, y compris des paysages, aux paysages urbains, et aux intérieurs, continuant à faire ainsi pour les trois décennies suivantes.
Ces voyages étendus l´ont fourni avec une masse des images desquelles pour dessiner dessus. Ces thèmes d´Orientalist étaient non seulement populaires avec des artistes, mais également avec des collecteurs, le public et le plus notamment, le gouvernement, qui a estimé qu´en encourageant les artistes français au voyage à l´étranger, ils communiquaient au public la force de l´état français et de leur domination coloniale. Pendant le premier voyage de Frère vers l´Algérie il a produit plusieurs grandes peintures pour le roi de Württemberg. En 1841 il a envoyé deux peintures au salon qui plus tard ont été achetées par Louis-Phillipe, un individu puissance-cherchant qui aurait certainement senti un penchant pour les images qui ont dépeint la domination culturelle et coloniale de la France au-dessus d´une autre culture. Dans un sens, Frère, tout en peignant des images qu´il a eu un intérêt extrême dedans, faisait également un rapport politique, peut-être involontairement, qui a augmenté la connaissance et l´intérêt du public pour davantage d´expansion coloniale.
Frère a continué de montrer le travail au salon avec le grand succès durant toute sa vie. En 1869 il a fait sa visite finale au méditerranéen oriental, voyageant en partie de l´impératrice Eugénie pendant son voyage à l´Orient, exécutant, par son ordre, un album des watercolors. Vers la fin de sa carrière son oeuvre avait augmenté pour inclure des peintures exécutées après nature, paysages, les intérieurs, scènes de vie quotidienne, chacune orientale dans l´orientation. Il a reçu une médaille de deuxième-classe en 1848 quand il a exhibé les douze travaux étonnants, et une récompense de première classe en 1865 pour l´à Constantinople (Café de Café de Galata d´inConstantinople de Galata), et L´ Île de Philoe - Nubia (l´île de Philoe-Nubia). Durant toute sa vie il aurait un nombre extraordinaire de travaux admis dans le salon, prouvant qu´il était non seulement un peintre prolifique, mais que ses travaux ont été tout d´abord admirés par des jurés de Salon désireux de représenter cette nouvelle manie d´Orientalism au salon. Il est également devenu un Officier de l´ Ordre du Medjidieh De Turquie et un membre du DES Artistes Français de Société. Il a continué d´exhiber régulièrement au salon jusqu´en 1887. Il est mort l´onMarch 24, 1888.
Charles-Théodore Frère était l´un des artistes de première génération qui se sont commis aux thèmes d´Orientalist, s´immergeant dans cette étude durant toute sa vie. Son travail sur de tels thèmes était un précédent à plusieurs des artistes plus jeunes tel qu´Eugène Fromentin qui commencerait également à travailler aux compositions en Orientalist. Une analyse finale de Frère et de l´autre la contribution Orientalist au développement de l´art français sont apparues dans Lorinda Munson Bryant dans les images françaises et leurs peintres (Londres : T. Fischer Unwin, 1923, page 111) qui nous a écrits « doit une dette inestimable à ces artistes français qui nous ont apporté dans tels le contact étroit avec l´esprit du Proche Orient. Leur arrangement sympathique du caractère sacré des rites et des cérémonies antiques est apporté dehors à plusieurs reprises dans leurs images. » Son travail est une représentation claire d´une période d´inFrance économique et politique d´expansion l´où de nouvelles cultures étaient regardées avec un oeil curieux, par le gouvernement et les artistes de même.
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