les livres de Bernadac.

Bonjour,

vous ne me connaisaient pas car s'est la 1er fois que je viens sur ce forum..

je suis un collectionneur de timbre acheteur et vendeur sur le site...

je vous demande des conseils sur se genre de livre que je voudrais vendre sur le site,

dans quelle catégorie je pourais les mettrent en vente ?

Christian Bernadac spécialiste du 3iem reich a soulevé plus d'une fois la polémique et scandale en France au sujet ce ces parutions...

je posséde une collection de livre politique et bien d'autres que j'aimerais me séparés, merci d'avance pour vos conseils.

salutations

François

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Bonsoir,
Je ne vois pas pourquoi il devrait attendre , (C'est pas pour moi ça ne m'interresse pas).
Mais sur le site il y en a 64 en vente.
Link (http)
Alors il faut faire le nettoyage
@+ Gilbert

Bonsoir,

merci pour vos précissions,

je l'ai mis en vente cet aprés midi, voulez-vous que je ferme la vente ?

a bientôt

cordialement

françois

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C'est dommage que christian Bernadac soit décédé car il vous répondrait lui même
Ce grand journaliste a été pendant un moment patron des infos à la télé et n' a jamais été soupçonné de nazisme.
Lisez un de ses livres et l'impression qui en ressort est un sentiment d'horreur envers la clique à hitler
Ce grand historien a d'ailleurs écrits d'autre livres qui n'ont aucun rapport avec le sujet qui nous intéresse
Amoureux de son pays l'Ariège il a contribué à l'histoire de cette région
J'ai très bien connu Christian Bernadac et je peux vous assurer que cet érudit, qui est toujours resté humble et convivial a vécu à l'opposé de ce que l'on lui reproche
Je trouve scandaleux que des "imbéciles" et le mot n'est pas assez fort se lancent dans une chasse aux sorcières, ce sont eux les facistes

CI DESSOUS LE TEXTE DU QUATRIEME PLAT DU DERNIER LIVRE DE BERNADAC SUR LES CAMPS DE CONCENTRATION

MERCI DE LE LIRE
(pardonnez les quelques fautes du à mon scan de reconaissance de textes)

C'est par Oranienburg Sachsenhausen, « Le Dernier Camp », que j'aurais dû ouvrir cette longue enquête, en plus de dix volumes sur « l'univers concentrationnaire ». D'abord parce que mon père, Robert Bernadac, a été déporté à Oranienburg et que cette longue absence marqua mon enfance, comme les récits qu'il fil à son retour impressionnèrent mon adolescence. Sans cette déportation et ses suites, il est certain que je n'aurais jamais tenté de comprendre la vie et la mort quotidiennes dans les enceintes barbelées. Ensuite, parce qu'Oranienburg Sachsenhausen, moins connu en France que Dachau, Buchenwald, Mauthausen ou Ausch-witz, était le tout premier « centre de rééducation et d'internement » créé par Hitler et Himmler et que, très rapidement, il devint « le camp des camps », siège de la direction, de l'administration et de l'inspection de tous les autres camps de concentration ou kommandos, « laboratoire » expérimental du « système », « école » de la hiérarchie et des gardiens, « propriété privée » d'Himmler qui pouvait ainsi, à l'écart des regards, monter ses opérations spéciales et assouvir sa soif d'expérimentations dans tous les domaines.
Avec « Le Dernier Camp », je pense avoir bouclé la boucle. Ce volume m'est le plus cher, pour des raisons que l'on comprendra facilement au fil des pages de ce livre. A son retour de Neubrandeburg, une succursale de Ravensbrùck, Micheline Maurel écrivit « Un Camp très Ordinaire ». Peut-être « Le Dernier Camp » aurait-il dû s'appeler « Une Déportation très Ordinaire » car son héros, ce Rouge-Gorge (le pseudonyme qui avait été attribué à mon père dans son réseau de résistance), bien qu'étant l'homme que j'aime et que j'admire le plus au monde, n'est pas — à première vue — un être d'exception. Paisible, tolérant, effacé, imperturbable et efficace, il n'a pas le brillant de ces régiments de « monstres sacrés », dont le seul nom provoque rassemblements, applaudissements et soupirs. Un héros ordinaire pour une déportation ordinaire. Mais quel homme! quel père! quel héros! quelqu'un de vrai.
Christian BERNADAC

BRAVO LES CENSEURS


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