à Monsieur Gédéon Guidon

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    • Erstellt am 16.06.2003 um 08:31
    • #7538
    Cher Monsieur Gédéon Guidon,

    Je suis ébahie par les assertions mensongères que vous a fait ma connas…heu ma charmante voisine mââm’ mâchevin !
    Je vis, en effet, avec le plus maigre salaire qui soit…Il est si maigre, que mââm’ Michue, du quatrième, à qui j’en parlais l’autre matin, voulait m’offrir une écuelle de la pâtée de son chien pour essayer de l’engraisser… si maigre, que je peux passer mon chèque mensuel entre le mur et l’affiche du cœur de l’armée rouge qui est collée dans mes lieux d’aisance sans la décoller…Si maigre que monsieur « Admita deuxroupieslerikshaw », du deuxième gauche, m’a dit, les larmes aux yeux, que mon salaire lui rappelait les vaches sacrées de son pays.

    De plus, comme je dois payer, de ma poche, la javel et les serpillières pour le nettoyage des parties communes… Ben… il réduit comme peau de chagrin ou « de lapin », j’ sais plus comment on dit en bon français, vu que, j’ai pas été longtemps à l’école des sœurs.
    Moi j’aurais bien aimé y rester chez les soeurs. Les attractions étaient mieux, à la pension, que celles de la foire de « Murat sur Colon ». là bas, il n’y avait pas, dans la baraques des horreurs, des femmes à barbe aussi barbues que nos nonettes. Mais, ces douces femmes faisaient de la dépression dans les nerfs, par ma faute, cause que j’étions une mécréante. Elles ont été obligées de me chasser de la pension des ursulines pour que le seigneur il m’enseigne la vie, comme elles disaient. Et c’est ce que j’ai fait. Depuis, j’ai compris qu’il ne faut pas pisser dans les bénitiers sinon on ne peut plus se laver les dents dedans, et puis aussi que le vin de messe c’est réservé au curé parce qu’il a un estomac moins fragile que celui des ses ouailles, rapport à toutes les confessions qu’il entend et digère très bien.
    Enfin, j’ai plus trop de remords maintenant…parce que j’ai appris qu’après mon départ, les sœurs étaient parties s´occuper du relogement d´un couvent entier de nonnes lesbiennes à San Francisco…Comme quoi… les voies du Seigneur sont vraiment impénétrables et, grâce à moi, elles ont fait une bonne action.

    En ce qui concerne les menus travaux (l´hébergement de soldats de passage, le reprisage, lavage et repassage de chaussettes et bonnets de coton), que j’effectue, par bonté d’âme, pour messieurs les locataires, sachez que Mââm’ Mâchevin, ma voisine, ne vous en a parlé que par jalousie pure et simple sachant très bien que tous mes services sont gratuits.
    J’avoue que moi, j’aurais bien voulu les faire payer, mais bien que ne comprenant pas le russe, j’ai cru saisir, quand je leur ai parlé d’oseille, que ces braves messieurs vivaient chichement, et ne survivaient que de harengs saurs et pain de guerre des surplus américains… les bons mois.
    En tout cas, c’est ce que j’ai compris, mais dites moi, vous qui êtes un lettré, si je ne me suis pas enduite d’erreur : « vatefairitch voirkoff magrossekoff », ça veut bien dire « Ma pauvre petite Madame, si belle et si pleine de bonté, nous ne pouvons pas vous payer, nous sommes raides comme des passes lacets » ? parce que, quand même, j’ai un doute, rapport au mot : « raide ». Monsieur Chapoutier, mon époux, ne l’utilise pas pour dire la même chose et…Monsieur Brel, lui, disait « Raide comme un cierge de Pâques » (haa !!! il avait bien de la chrétienté ce bon monsieur Jacques!), alors je vois de quoi qu’on cause là, mais « comme un passe lacet »…je ne vois pas.

    C’est aussi une calomnie de dire que j ‘effectue le mesurage "d´attributs". Elle peut rester évasive là, la Mâchevin vu qu’elle ne sait même pas de quoi qu’on cause. Les derniers attributs qu’elle a vu de près, c’était au cours élémentaire pendant l’heure de grammaire!
    De toute façon, je peux vous prouver que ce n’est pas vrai et c’est très simple… je suis bonne fille, mais je ne suis pas idiote…Comment je pourrais accepter de faire une chose pareille vu que ça change tout le temps de mesure ces choses là hein ? Faut pas croire que la Germaine irait se déguiser en feuille de choux pour se faire mignoter le postérieur par les lapins, quand même, hein ! sauf vot’ respect mon bon Monsieur Guidon…

    Bon… j’avoue le nourrissage du cheval de ce si gentil Monsieur Igor, mais quand même mon cher Monsieur Gédéon, vous n’allez pas me dire que j’aurais du laisser c’te pauvre bête sans avoine pendant trois jours! On est humain tout de même ! son maître n’était pas disponible vu qu’il était dans mon lit, suite à une partie de strip canasta qu’il a perdue et qui l’a, comme qui dirait, trop commotionné pour bouger de ma chambre fermée à clé.

    Quant aux nièces de mon mari, qui lui rapporteraient des revenus substantiels…alors là je suis outrée ! comment on peut dire de si laides choses sur un homme qui sue sang et eau toutes les fins de semaine pour ces pauvres petites dans le besoin ?! il est tellement fatigué, quand il rentre qu’il me dit : « allume la télé ma maimaine… ce soir, pas de brouette slave…je suis lessivé ! elles m’ont pompés les garces » (oui, oui, Monsieur Chapoutier aime à parler en vieux françouais, comme vous pouvez le remarquer…c’est qu’il a des lettres mon Eugène !).
    Je compte donc sur votre charité chrétienne, mon bon monsieur Gédéon, pour faire mettre fin à ces rumeurs qui entachent, si rudement, l’honneur familial que l’Auguste, mon beau père, doit se retourner dans sa tombe et que ça doit pas lui plaire cause qu’il en a pas l’habitude vu que c’est lui qui faisait se retourner tout le monde quand un coup de sang le prenait...
    Ha ! que je n’oublie pas ….Monsieur Chapoutier, mon époux, vous fait dire que vous êtes le bienvenu à la « cuisse légère » (c’est le nom de la petite maison que mon Eugène met à la disposition des petites pour qu’elles ne soient pas à la rue), les jours ou les soirs de votre choix, et il rajoute que vous serez son invité et que ses nièces se font déjà un devoir de veiller à votre plaisir.

    Voilà mon bon Monsieur Gédéon, je pense que maintenant que vous savez le fin mot de l’histoire, vous allez mettre la Mâchevin dans le premier train en partance pour l’Oural septentrional où elle est attendue avec impatience par tout un régiment de cosaques.

    Croyez en ma gratitude et n’hésitez pas à faire appel à moi si vous avez un uniforme à nettoyer.
    Pour mettre fin aux calomnies et pour tenir le choc face à d’éventuels redressements, j’accepterai les paiements en nature (poules, œufs, cochons, dindons, saucisson, mais pas rillettes… je suis au régime et je ne peux plus les manger avec du lard et du pain et c’est beaucoup moins bon…).

    Votre dévouée.

    Germaine Chapoutier concierge de son état.
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    Cher Monsieur Gédéon Guidon,

    Je suis ébahie par les assertions mensongères que vous a fait ma connas…heu ma charmante voisine mââm’ mâchevin !
    Je vis, en effet, avec le plus maigre salaire qui soit…Il est si maigre, que mââm’ Michue, du quatrième, à qui j’en parlais l’autre matin, voulait m’offrir une écuelle de la pâtée de son chien pour essayer de l’engraisser… si maigre, que je peux passer mon chèque mensuel entre le mur et l’affiche du cœur de l’armée rouge qui est collée dans mes lieux d’aisance sans la décoller…Si maigre que monsieur « Admita deuxroupieslerikshaw », du deuxième gauche, m’a dit, les larmes aux yeux, que mon salaire lui rappelait les vaches sacrées de son pays.

    De plus, comme je dois payer, de ma poche, la javel et les serpillières pour le nettoyage des parties communes… Ben… il réduit comme peau de chagrin ou « de lapin », j’ sais plus comment on dit en bon français, vu que, j’ai pas été longtemps à l’école des sœurs.
    Moi j’aurais bien aimé y rester chez les soeurs. Les attractions étaient mieux, à la pension, que celles de la foire de « Murat sur Colon ». là bas, il n’y avait pas, dans la baraques des horreurs, des femmes à barbe aussi barbues que nos nonettes. Mais, ces douces femmes faisaient de la dépression dans les nerfs, par ma faute, cause que j’étions une mécréante. Elles ont été obligées de me chasser de la pension des ursulines pour que le seigneur il m’enseigne la vie, comme elles disaient. Et c’est ce que j’ai fait. Depuis, j’ai compris qu’il ne faut pas pisser dans les bénitiers sinon on ne peut plus se laver les dents dedans, et puis aussi que le vin de messe c’est réservé au curé parce qu’il a un estomac moins fragile que celui des ses ouailles, rapport à toutes les confessions qu’il entend et digère très bien.
    Enfin, j’ai plus trop de remords maintenant…parce que j’ai appris qu’après mon départ, les sœurs étaient parties s´occuper du relogement d´un couvent entier de nonnes lesbiennes à San Francisco…Comme quoi… les voies du Seigneur sont vraiment impénétrables et, grâce à moi, elles ont fait une bonne action.

    En ce qui concerne les menus travaux (l´hébergement de soldats de passage, le reprisage, lavage et repassage de chaussettes et bonnets de coton), que j’effectue, par bonté d’âme, pour messieurs les locataires, sachez que Mââm’ Mâchevin, ma voisine, ne vous en a parlé que par jalousie pure et simple sachant très bien que tous mes services sont gratuits.
    J’avoue que moi, j’aurais bien voulu les faire payer, mais bien que ne comprenant pas le russe, j’ai cru saisir, quand je leur ai parlé d’oseille, que ces braves messieurs vivaient chichement, et ne survivaient que de harengs saurs et pain de guerre des surplus américains… les bons mois.
    En tout cas, c’est ce que j’ai compris, mais dites moi, vous qui êtes un lettré, si je ne me suis pas enduite d’erreur : « vatefairitch voirkoff magrossekoff », ça veut bien dire « Ma pauvre petite Madame, si belle et si pleine de bonté, nous ne pouvons pas vous payer, nous sommes raides comme des passes lacets » ? parce que, quand même, j’ai un doute, rapport au mot : « raide ». Monsieur Chapoutier, mon époux, ne l’utilise pas pour dire la même chose et…Monsieur Brel, lui, disait « Raide comme un cierge de Pâques » (haa !!! il avait bien de la chrétienté ce bon monsieur Jacques!), alors je vois de quoi qu’on cause là, mais « comme un passe lacet »…je ne vois pas.

    C’est aussi une calomnie de dire que j ‘effectue le mesurage "d´attributs". Elle peut rester évasive là, la Mâchevin vu qu’elle ne sait même pas de quoi qu’on cause. Les derniers attributs qu’elle a vu de près, c’était au cours élémentaire pendant l’heure de grammaire!
    De toute façon, je peux vous prouver que ce n’est pas vrai et c’est très simple… je suis bonne fille, mais je ne suis pas idiote…Comment je pourrais accepter de faire une chose pareille vu que ça change tout le temps de mesure ces choses là hein ? Faut pas croire que la Germaine irait se déguiser en feuille de choux pour se faire mignoter le postérieur par les lapins, quand même, hein ! sauf vot’ respect mon bon Monsieur Guidon…

    Bon… j’avoue le nourrissage du cheval de ce si gentil Monsieur Igor, mais quand même mon cher Monsieur Gédéon, vous n’allez pas me dire que j’aurais du laisser c’te pauvre bête sans avoine pendant trois jours! On est humain tout de même ! son maître n’était pas disponible vu qu’il était dans mon lit, suite à une partie de strip canasta qu’il a perdue et qui l’a, comme qui dirait, trop commotionné pour bouger de ma chambre fermée à clé.

    Quant aux nièces de mon mari, qui lui rapporteraient des revenus substantiels…alors là je suis outrée ! comment on peut dire de si laides choses sur un homme qui sue sang et eau toutes les fins de semaine pour ces pauvres petites dans le besoin ?! il est tellement fatigué, quand il rentre qu’il me dit : « allume la télé ma maimaine… ce soir, pas de brouette slave…je suis lessivé ! elles m’ont pompés les garces » (oui, oui, Monsieur Chapoutier aime à parler en vieux françouais, comme vous pouvez le remarquer…c’est qu’il a des lettres mon Eugène !).
    Je compte donc sur votre charité chrétienne, mon bon monsieur Gédéon, pour faire mettre fin à ces rumeurs qui entachent, si rudement, l’honneur familial que l’Auguste, mon beau père, doit se retourner dans sa tombe et que ça doit pas lui plaire cause qu’il en a pas l’habitude vu que c’est lui qui faisait se retourner tout le monde quand un coup de sang le prenait...
    Ha ! que je n’oublie pas ….Monsieur Chapoutier, mon époux, vous fait dire que vous êtes le bienvenu à la « cuisse légère » (c’est le nom de la petite maison que mon Eugène met à la disposition des petites pour qu’elles ne soient pas à la rue), les jours ou les soirs de votre choix, et il rajoute que vous serez son invité et que ses nièces se font déjà un devoir de veiller à votre plaisir.

    Voilà mon bon Monsieur Gédéon, je pense que maintenant que vous savez le fin mot de l’histoire, vous allez mettre la Mâchevin dans le premier train en partance pour l’Oural septentrional où elle est attendue avec impatience par tout un régiment de cosaques.

    Croyez en ma gratitude et n’hésitez pas à faire appel à moi si vous avez un uniforme à nettoyer.
    Pour mettre fin aux calomnies et pour tenir le choc face à d’éventuels redressements, j’accepterai les paiements en nature (poules, œufs, cochons, dindons, saucisson, mais pas rillettes… je suis au régime et je ne peux plus les manger avec du lard et du pain et c’est beaucoup moins bon…).

    Votre dévouée.

    Germaine Chapoutier concierge de son état.
    • Erstellt am 16.06.2003 um 10:30
    • #7540
    Bonjour,

    Joli loupé....mon message....n'est pas passé...et c'est ce que j'avais effacé qui est ressorti....après impossible d'atteindre le serveur....

    Igor qui est déçu....
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    Joli loupé....mon message....n'est pas passé...et c'est ce que j'avais effacé qui est ressorti....après impossible d'atteindre le serveur....

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    • #7542
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    • Erstellt am 16.06.2003 um 08:31
    • #7538
    Ma Germainouchka,

    Je me réveille enfermé dans votre chambre....vous m'avez dit de ne pas faire de bruit car quand monsieur Chapoutier rentre de week-end il est très fatigué...

    J'ai donc pris une autre feuille de votre petit carnet....

    je repense à ces derniers jours....au bonheur de vos yeux...quand je vous ai proposé une promenade sur les verges de la rivière....cela était si longtemps qu'on ne vous avez fait des propositions....j'ai aimé votre idée d'un bain dans l'eau fraîche....vous nagez comme un esturgeon...et vos formes sont aussis précieuses que le caviar...je me pensais quand fort dans mes bras je vous réchauffais...en attendant la nuit pour rentrer,des plaisanciers ayant caché nos habillements....
    Puis dans les rue de la ville...nous étions tellement serrés pour ne faire qu'un afin que les voisins nous montre pas et surtout l'affreux monsieur Guidon qui vous harcèle sans s'arrêter...

    Je pense qu'il sera bientôt promotionner dans une lointaine ville...

    Dimanche matin vous avez voulu ma pieuse Germainouchka...aller dans la messe...au confessional vous avez été...j'ai attendu longtemps...et le pope quand il est sorti était rouge comme s'il avait réchauffé au bain-marie...mais vous étiez souriante...on voyait que cela vous avait fait du bien....

    Dimanche après-midi...c'était la canicule...vous avez proposé une sieste a l'abri des parisiennes....et j'étais heureux de vous montrer des secrets du saut des cosaques...finalement dans la baignoire nous nous rafraichimes...et vous par un jeu tout en finesse...vous me faites connaître votre belle langue....à misaine,le mât...à cocagne,le mât...je suis impatient de jouer avec un autre mot pour mieux connaître la bauté de la langue française...

    Si je vous écrit ce mot que je glisse sous la porte c'est que"je vais pisser dans mon froc"...c'est bien comme ça qu'on dit?...mais je ne sais car je n'ai rien sur moi...ouvrez-vous vite...c'est comme ça qu'on dit en cas d'urgence?

    GorI,votre fidèle serviteur.
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    Ma Germainouchka,

    Je me réveille enfermé dans votre chambre....vous m'avez dit de ne pas faire de bruit car quand monsieur Chapoutier rentre de week-end il est très fatigué...

    J'ai donc pris une autre feuille de votre petit carnet....

    je repense à ces derniers jours....au bonheur de vos yeux...quand je vous ai proposé une promenade sur les verges de la rivière....cela était si longtemps qu'on ne vous avez fait des propositions....j'ai aimé votre idée d'un bain dans l'eau fraîche....vous nagez comme un esturgeon...et vos formes sont aussis précieuses que le caviar...je me pensais quand fort dans mes bras je vous réchauffais...en attendant la nuit pour rentrer,des plaisanciers ayant caché nos habillements....
    Puis dans les rue de la ville...nous étions tellement serrés pour ne faire qu'un afin que les voisins nous montre pas et surtout l'affreux monsieur Guidon qui vous harcèle sans s'arrêter...

    Je pense qu'il sera bientôt promotionner dans une lointaine ville...

    Dimanche matin vous avez voulu ma pieuse Germainouchka...aller dans la messe...au confessional vous avez été...j'ai attendu longtemps...et le pope quand il est sorti était rouge comme s'il avait réchauffé au bain-marie...mais vous étiez souriante...on voyait que cela vous avait fait du bien....

    Dimanche après-midi...c'était la canicule...vous avez proposé une sieste a l'abri des parisiennes....et j'étais heureux de vous montrer des secrets du saut des cosaques...finalement dans la baignoire nous nous rafraichimes...et vous par un jeu tout en finesse...vous me faites connaître votre belle langue....à misaine,le mât...à cocagne,le mât...je suis impatient de jouer avec un autre mot pour mieux connaître la bauté de la langue française...

    Si je vous écrit ce mot que je glisse sous la porte c'est que"je vais pisser dans mon froc"...c'est bien comme ça qu'on dit?...mais je ne sais car je n'ai rien sur moi...ouvrez-vous vite...c'est comme ça qu'on dit en cas d'urgence?

    GorI,votre fidèle serviteur.
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    • #7547
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