Dvd Zone 2 My Fair Lady (1964) Édition Spéciale Collector vf+Vostfr
My Fair Lady est un film musical américain de George Cukor sorti en 1964, adapté de la comédie musicale-homonyme, elle-même inspirée de la pièce de George Bernard Shaw, Pygmalion (1914).
Synopsis
Londres, au début du xxe siècle. Eliza Doolittle, une pauvre fleuriste cockney, demande au prétentieux professeur Higgins, qui se moque de son langage « primaire », des leçons de phonétique afin de parler comme une « lady dans une boutique de fleurs ». Le colonel Pickering, ami et collègue du professeur, propose un pari à ce dernier : transformer suffisamment Eliza pour la faire passer pour une grande dame raffinée lors d'une réception à l'ambassade de Transylvanie, quelques mois plus tard. Higgins relève le défi et installe la jeune fille chez lui au terme d'un contrat verbal dont la durée est fixée à 6 mois : Eliza ne payera pas ses leçons de phonétique mais elle sera le « cobaye » de Higgins qui s'engage à mettre toute sa science au service d'un projet, celui de la faire parler comme une duchesse, dont le test final sera l'apparition d'Eliza à un bal de la cour. Le père d'Eliza, un éboueur quelque peu anarchiste, plein de vitalité et animé d'une joyeuse verve populaire, vient s'enquérir des intentions du professeur et repart avec l'argent qu'il lui a demandé en compensation de la « perte » de sa fille.
Les leçons commencent, sans autre résultat dans un premier temps que celui d'exaspérer l'élève jusqu'à ce qu'une nuit, vers quatre heures du matin, le miracle se produise et qu'Eliza parvienne à prononcer correctement la phrase fatidique : « The rain in Spain stays mainly in the plain ». Ce premier succès donne lieu à une danse triomphale au terme de laquelle Eliza, s'avouant qu'elle aurait pu « danser toute la nuit », prend conscience du fait qu'elle est amoureuse de son pygmalion.
Quelques leçons plus tard, Higgins et Pickering décident de montrer leur élève en public et la conduisent aux courses d'Ascot, dans la loge de la mère du professeur, une femme ouverte et intelligente qui fait partie de la gentry. Mais l'expérience tourne à la catastrophe lorsque Eliza laisse échapper dans un excès d'enthousiasme un retentissant « Allez Dover, bouge ton cul ! » (« C'mon Dover, move your bloomin ' arse ! ») à l'adresse du cheval sur lequel elle a misé. Les aristocrates présents sont profondément choqués à l'exception du jeune et naïf Freddy Eynsford-Hill, foudroyé par le charme de la jeune fille.
Eliza se rend compte de l'énormité de sa gaffe mais Higgins ne se laisse pas décourager et la petite troupe se rend finalement au bal de l'ambassade où Eliza impressionne tout le monde par sa distinction et sa grâce, à commencer par un linguiste hongrois réputé qui la déclare hongroise et de sang royal, au grand amusement d'Higgins. De retour chez le professeur, lui et Pickering se congratulent mutuellement de la réussite du projet, avec force amabilités, en négligeant de féliciter sa principale actrice : Eliza. Profondément blessée, la jeune fille se réfugie chez Mme Higgins, après avoir appris que son père, qui s'est subitement enrichi grâce à un héritage inattendu (Higgins l'a recommandé comme brillant spécialiste de la moralité publique auprès d'un milliardaire américain qui lui a laissé une coquette somme d'argent en héritage), est contraint d'abandonner ses idées radicales pour celles de la classe moyenne conservatrice, et a décidé de se marier. L'expérience a bel et bien bouleversé leurs existences.
Le lendemain, Higgins tente de convaincre Eliza de revenir mais celle-ci, hésitante entre ses sentiments envers son Pygmalion et la perspective d'une possible indépendance, refuse comme elle a refusé auparavant sa main au pauvre Freddy. Le professeur se rend compte, alors qu'il rentre chez lui morne et solitaire, qu'il avait fini par « s'habituer » à elle. Alors qu'il réécoute un cylindre sur lequel il avait enregistré la voix de son élève, Eliza pénètre dans le bureau.
Audio : Italien (Dolby Digital 2.0 Mono), Anglais (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 2.0 Mono)
Sous-titres : Néerlandais, Français, Anglais, Allemand, Italien, Roumain, Espagnol, Arabe
DVD 1 :
Commentaire audio de Gene Allen, Marni Nixon, Robert A Harris et James C. Katz (VO sans ST)
DVD 2 : (120' - VOST)
Making of : "Du tournage à nos jours" (58')
Commentaire audio de George Cukor
1963 : le dîner de lancement de la production (23')
Audrey Hepburn chante : "Wouldn't It Be Loverly" et "Show me"
2 documentaires :
- La plus Grande Dame
- La Première à Los Angeles
Discours de Rex Harrison lors des Golden Globes
La 37ème cérémonie des Academy Awards (Oscars)
Galerie d'images (photos de production, documents, les costumes et croquis des décors)
Regard sur le film par Martin Scorcese et Andrew Lloyd Weber
Récompenses
David di Donatello 1965 : Meilleure production étrangère
Golden Globes 1965 : Meilleur film musical ou de comédie
Oscars 1965 :
Meilleur film
Meilleur réalisateur pour George Cukor
Meilleur acteur pour Rex Harrison
Meilleure direction artistique - couleur pour Gene Allen, Cecil Beaton et George James Hopkins
Meilleurs costumes - couleur pour Cecil Beaton
Meilleure photographie - couleur pour Harry Stradling Sr.
Meilleur son pour George R. Groves
Meilleure musique de film - adaptation pour André Previn
Audio : Anglais (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 5.1)
Sous-titres : Français
Durée : 166 minutes
150 gr poids total sans emballage
Comme neuf !