DOCUMENTATION RARE PETANQUE LYONNAISE
VOIR LA VENTE AUX ENCHERES SUITE A LA FAILLITE DE CETTE ENTREPRISE
VOIR HISTORIQUE CI APRES le paragraphe DESCRIPTION
DESCRIPTION
ANNEE 1956
ENVELOPPE SEULE
VOIR SCAN
VOIR HISTORIQUE
HISTORIQUE
SOURCES
https://www.fonderie-piwi.fr/post/2012/03/22/LA-BOULE-INT%C3%89GRALE-N-EST-PLUS-SUR-LE-CARREAU
La Boule Intégrale n'est plus sur le carreau...
le jeudi, 22 mars 2012, 15:07 -
Cette scène surréaliste s'est jouée en février 2011 : venus à la vente aux enchères de la Boule Intégrale, alors en faillite, avec l'idée de récupérer quelques machines à bon prix, les frères Davergne sont finalement repartis avec la totalité de l'entreprise. En moins de cinq minutes, ces propriétaires d'une fonderie du Nord de la France se retrouvaient, presque par surprise, avec la plus ancienne fabrique de boules françaises sur les bras. L'emblématique marque née en 1923, les machines et le stock ont été adjugés 50 000 euros. «On va bien voir… On va essayer de remettre l'entreprise en route», balbutiait Patrick Davergne aux journalistes. Selon La Tribune de Lyon;
Un an plus tard, la Boule Intégrale recommence doucement à rouler. La production de boules lyonnaises et de pétanques en bronze a repris, la fabrication de pétanques en acier va suivre. Et la vraie renaissance devrait avoir lieu dans les prochains jours, avec la mise en route d'une boutique en ligne sur le site internet de la Boule Intégrale. Les repreneurs veulent se positionner sur le marché haut de gamme et développer la vente d'accessoires et de textile. «Nous avons tout redémarré de zéro, mais rien n'est facile, concède Patrick Davergne. La boule lyonnaise est un jeu qui vieillit. Le marché français peut représenter 250 000 euros par an, on ne va pas cracher dessus.»
La production des boules brutes est désormais assurée par l'usine picarde de la famille Davergne, tandis que l'atelier villeurbannais – réduit à trois salariés – s'occupe de la personnalisation et du striage des produits. Pour donner une chance de réussite à ce rachat, la famille Davergne a injecté environ 500 000 euros pour réanimer la Boule Intégrale. «Nous allons créer notre gamme et mettre en place un réseau de revendeurs. La Boule Intégrale va rester tranquillement dans une position d'outsider derrière le leader Obut», annonce Patrick Davergne, prudent.
Le boss : Patrick Davergne est à la tête d'une fonderie familiale de 250 salariés spécialisée dans la réalisation de caterners pour les trains.
Le symbole : inventeur de la première boule métallique, la Boule Intégrale est une marque emblématique de «la Lyonnaise» qui a frôlé la disparition en 2011.
Le savoir-faire : les repreneurs de la Boule Intégrale sont spécialistes des alliages en acier, un savoir-faire quasi unique en France.
Le marché : la nouvelle direction de l'entreprise estime que la vente de boules lyonnaises et de pétanques peut lui rapporter environ 250 000 euros par an.
Meer tonen