HISTOIRE DE LA CHUTE DU PREMIER EMPIRE D'APRES LES DOCUMENTS ORIGINAUX: 1814: LA CAMPAGNE DE FRANCE ET LA PREMIERE ABDICATION. 1815: LA PREMIERE RESTAURATION .LE RETOUR DE L'ILE D'ELBE. LES CENT JOURS. 1815: WATERLOO. 1815: LA SECONDE ABDICATION. LA TERREUR BLANCHE.
Par Henry HOUSSAYE
Edition revue et augmentée
EDITIONS LIBRAIRIE ACADEMIQUE PERRIN, 1899-1905 COMPLET EN 4 VOLUMES RELIES - RELIE ( TRES BONNE RELIURE D'EPOQUE, RELIURE DOS CARTONNAGE GLACE, PIECE DE TITRE, FLEURONS, SIGNET), voir scan
-TOME 1: 1814. La Campagne de France et la premiere Abdication. -TOME 2: 1815. La Première Restauration- Le Retour de l’Île d’Elbe. Les Cent Jours. -TOME 3: 1815. Waterloo. -TOME 4: 1815. La Seconde Abdication - La Terreur Blanche.
651 PAGES + 636 PAGES + 512 PAGES + 604 PAGES. 4 Cartes dépliantes H-T. -1. « Dans le premier volume c’est la campagne de France de 1814 que nous avons raconté en prolongeant le récit jusqu’à l’abdication et en mêlant aux détails de l’histoire militaire les développements de l’histoire générale. Nous n’avons d’ailleurs point négligé de montrer les commencements de l’invasion. Au cours des premiers chapitres on suivra les armées alliées depuis le Rhin jusqu’à l’Aube. NAPOLEON en ses retraites savantes et en ses foudroyants retours, les diplomates du « Congrès » de Châtillon au milieu de leurs laborieuses négociations. On verra la France ruinée et abattue, travaillée par les mécontents et les conspirateurs, saccagée par les Cosaques et les Prussiens, d’abord surprise et patiente, puis révoltée et vengeresse. En 1814, NAPOLEON n’est plus le souverain. Il est le général; il est le premier, le plus grand et le plus résolu des soldats français ». -2. « Dans le deuxième volume j’ai cherché à peindre les sentiments des Français de 1815 et à marquer leur action sur les évènements. NAPOLEON, LOUIS XVIII, TALLEYRAND, FOUCHE, NEY, DAVOUT, CARNOT, restent au premier plan, mais non loin d’eux, on voit les paysans, les bourgeois, les ouvriers, les soldats. Pour mieux rendre les idées et les passions de cette époque qui vit se ranimer, dans les deux partis, les fureurs et les haines révolutionnaires, je n’ai pas hésité à employer les expressions du temps. Quand je dis les Mousquetaires, des soldats d’antichambre, les Vendéens, des brigands et les prêtres, des calotins, je parle comme les officiers à la demi-solde et les maçons du quai de Gêvres. Quand j’appelle NAPOLEON, l’usurpateur ou l’aventurier Corse, je parle comme les familiers du Comte d’ARTOIS. De même j’ai reproduit dans toute leur atrocité les propos sanguinaires des fédérés bonapartistes contre les nobles et les prêtres, et les monstrueuses menaces de répression proférées à Gand par les Émigrés. L’historien ne doit pas seulement raconter les évènements, il doit aussi « faire revivre les passions qu’on n’a plus ». -3. « Dans le troisième volume j’ai fais le récit complet et détaillée de la campagne de Belgique, le soleil de Ligny et le sanglant crépuscule de Waterloo, de l’entrée en campagne jusqu’aux combats de Wavre et à la retraite de GROUCHY. « Jamais NAPOLEON n’exerça plus effectivement le commandement, jamais son action ne fut plus directe. Mais obligé précisément à ce rôle de « sergent de bataille » que condamne Maurice de SAXE, il s’employa tout entier à parer aux méprises, aux oublis, aux fautes de ses lieutenants. Et, voyant toutes ses combinaisons avorter, toutes les attaques échouer, ses généraux gaspiller ses belles troupes, sa dernière armée fondre entre leurs mains, l’ennemi lui faire la loi, il perdit la résolution avec la confiance, hésita, se borna à pourvoir aux périls les plus pressants, attendit l’heure, la laissa passer et n’osa pas à temps risquer tout pour sauver tout ». -4. « Le quatrième et dernier volume fait revivre le retour de l’Empereur à Paris, sa seconde abdication, le séjour à la Malmaison et le lent départ pour Sainte-Hélène. Ce sont, après la restauration de LOUIS XVIII, trois mois comparables aux pires époques de la Ligue et de la guerre de Cent ans alors que la France épuisée et désunie risquait de tomber sous la vassalité d’un souverain étranger. Plus d’armée, un pays sans défense, un roi sans pouvoir, soixante départements occupés par l’ennemi, les villes rançonnées, les campagnes ravagées, les habitants fuyants dans les bois, l’autorité aux mains de l’étranger, la France sous la menace du démembrement, la guerre civile imminente, les trois quarts de la population souffrant avec horreur le joug du parti victorieux, les haines politiques et les fureurs religieuses exaltées jusqu’à l’incendie et l’assassinat. Ici le bâton des Prussiens, là le couteau des égorgeurs royalistes; partout l’oppression, la honte, la misère, la terreur et la désolation. » L’intégrale du chef d’œuvre de Henry HOUSSAYE. L’histoire détaillée, politique et militaire, des deux dernières années dramatiques, 1814 et 1815, de la fin du règne de NAPOLEON Ier .
Bonne reliure demi-toile vert empire. Pièce de titre. Fleurons, titres et tomaison, dorés
LE PRIX EST POUR LES 4 VOLUMES, SERIE COMPLETE
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